Le peignoir de satin ouvert sur sa panse velue, les pantoufles aux pieds, DSK regardait sa doublure grimper sur le trône… C’était il y a un an.

Ironie de l’histoire : alors que repassent sur les écrans les images, datées d’un an tout juste, d’un DSK débraillé et mal rasé conduit par les “cops” à sa prison de Rikers Island, celui-ci voit monter à sa place sur le trône de France un gars qu’il prenait pour une pâte molle.

Un tableau de plus pour la pièce de boulevard. Ou pour la superproduction hollywoodienne qu’on ne manquera pas d’en tirer. On voit d’ici la scène finale : Dany de Vito, coiffé d’une perruque blanche, contemplant depuis le canapé où il est vautré, l’investiture de François Hollande. Le peignoir de satin ouvert sur sa panse velue, les pantoufles aux pieds, il se perd dans les volutes de son cigare et regarde son double grimper au perchoir.

Et sa femme Anne Sinclair, fraichement choucroutée en noir corbeau, qu’est-ce qu’elle en dit ? Parce qu’elle s’y voyait bien, elle aussi, tout en haut de l’affiche. À tu et à toi avec la reine d’Angleterre, toisant Angela Merkel et ses tailleurs mal coupés, passant commande d’un couvre-lit et de rideaux lamés or pour la chambre nuptiale à l’Élysée.

Cruelles images que celles qu’on a revues : un an de déconfiture en dégringolade, ou comment l’on passe du toit du monde à ses bas-fonds, de Davos aux parties fines de Dodo la Saumure. De quoi alimenter les méditations de philosophes en herbe sur la vanité des choses.

Dimanche soir, on a pu voir l’ascension et la descension du bonhomme dans l’émission Zone interdite, sur M6. On y a entendu des choses qui, pour le moins, laissent perplexes. Dans la bouche du journaliste Jean Quatremer, entre autres – le seul qui avait ouvertement fait état des penchants mauvais de l’ex-patron du FMI, avec ses confrères de Minute, soyons précis –, lequel rappelait qu’après l’affaire Piroska-Nagy, Dominique Strauss-Kahn avait affirmé à son entourage politique et amical avoir « fait le nécessaire» pour que le scandale ne se reproduise pas. Et Quatremer d’ajouter que, dans l’esprit de tous, cela signifiait qu’il se tenait désormais à l’écart des tentations, voire s’était engagé dans un suivi médical. Or il n’en était rien. Le nécessaire en question avait seulement consisté à s’enfoncer un peu plus profondément dans les pratiques glauques, passant d’une relation contrainte avec une subordonnée aux parties fines avec des prostituées. Et c’est ainsi, sans doute, qu’il comptait arriver aux présidentielles. Et les gagner. Avec la complicité des caciques du PS, Martine Aubry en tête.

Les Français eurent autrefois un président – Paul Deschanel – atteint de somnambulisme, qui finit égaré sur un quai de gare en pyjama. Il s’en est fallu de peu qu’ils appellent un siècle plus tard un gras libidineux atteint de satyriasis. Finalement, Hollande le “normal” va nous reposer !

Marguerite

Une grenouille vit un boeuf 
Qui lui sembla de belle taille. 
Elle, qui n'était pas grosse en tout comme un oeuf, 
Envieuse, s'étend, et s'enfle et se travaille
Pour égaler l'animal en grosseur, 
Disant: "Regardez bien, ma soeur; 
Est-ce assez? dites-moi: n'y suis-je point encore? 
Nenni- M'y voici donc? -Point du tout. M'y voilà? 
-Vous n'en approchez point."La chétive pécore
S'enfla si bien qu'elle creva. 

Depuis j'ai appris à ferrer, je ferre d'ailleurs très très bien.

Je viens de retrouver ce billet dans mes archives.On me l'a refilé dans une bodéga un soir de beuverie. Il est tellement faux que je n'ai jamais trouvé quelqu'un d'assez stupide à qui le repasser.

Faut dire que la personne qui m'a faite ce cadeaux était une barmaid, que j'étais un peu stone et plus interressé par son paramamaire que de la monnaie qu'elle me rendait.

Je n'en suis pas plus riche et c'est le souvenir d'une soirée mémorable.

I'm a poor lonesome cowboy
I've a long long way to home
And this poor lonesome cowboy
Has got a long long way to home
Over mountains and over prairies

Ma période western, 10 années de chevaux, de randos,de country et de wiskiy bon marché...10 années qui se sont terminées par 8 jours de coma et 6 mois de rééducation.Mon cheval était meilleur que moi ...et ça ! ça ne pardonne pas.

Moi mes Santiag's ont beaucoup voyagé 
Elles m'ont porté tout autour de la terre

J'ai traversé sur leurs semelles usées

Le monde entier et ses misères

 Chouette ! ça refonctionne.

Être droit dans ses bottes, c'est une expression qui me plait beaucoup ,encore faudrait il en avoir une bonne paire.(de bottes)Cette paire je l'ai depuis ...plus de 50 ans, ce sont mes premières.

A l'époque elles m'ont coutées presque un mois de salaire et j'aimerais les avoir au pieds, pour ma dernière chevauchée.

 Je rassure les amis des animaux, les éperons c'est juste pour la déco, je ne suis jamais monté avec.

(Ni avec ceux ci ni avec d'autres .)

je suis désolé mais il m'est impossible de publier des images..

."Erreur, envoi de l'image impossible. Veuillez réessayer ultérieurement." Voila ce que je reçois à chacune de mes tentatives... Je pourrais à la limite raconter ma vie, mais je crains fort que cela puisse interresser beaucoup de gens quoi que j'ai eu une vie assez mouvementée.

A 17 ans j'ai quitté ma province, bien décidé à embrasser Paris....

On ne sait pas trop combien ils étaient à la manif les anti-conjugays. il aurait fallu compter les bras et les jambes et diviser par quatre... et encore les manchos,les culs de jatte et les uni-jambistes auraient raler.
M'enfin ça fait beaucoup de foin pour une simple affaire de cul. Les unes préfèrent brouter le gazon et les autres prendre du rond.

Perso, peu me chaut! comme disait Georges Sand qui était à voile et à vapeur, le tout c'est que chacun y trouve son bonheur .

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On a mis en ligne les plus beaux fleurons de la société Dassaullt...le Rafale ! un avion mythique que le monde entier nous envie... mais que personne ne veut nous acheter.Il faut reconnaitre que c'est un beau zoziau, un peu cher, mais beau.

Si après ça on ne remplit pas les carnets de commandes, c'est à vous dégoutter de faire des guerres...Dommage qu'on ne puisse pas faire manoeuvrer nos beaux chars Leclerc.(Pas Edouard lépicier,l'autre celui de la 2ème D.B.)

Je ne suis pas un va t'en guerre , mais parfois il faut la faire comme le chantait si bien Nino Ferrer.

On est tous des voyageurs sur cette planète, pourquoi faut il que certains cherchent à miner les chemins !

Un jeune saisonnier et son amie sont morts dans la station de ski de La Clusaz (74). Brûlés vifs dans le fourgon où ils dormaient après le travail?! Qui est responsable et pourquoi sont-ils morts?
«C’est un choix de vie!», a osé déclarer le directeur de l’office du tourisme. C’est bien connu, les SDF, les Roms, les sans-papiers et les pauvres en général choisissent de vivre dans la rue, dans des taudis, ou dans les fourgons qui leur servent aussi à se déplacer. Ils choisissent aussi sans doute d’y mourir…
La plupart des offres d’emploi proposées pour travailler dans les stations de sports d’hiver précisent «ni logés ni nourris»: exploitation maximum, profit maximum pour les patrons. Indifférence générale: de Pôle emploi qui enregistre ces offres et organise chaque année des «Forums» à Albertville – où les patrons des stations viennent «?puiser» leur main-d’œuvre – aux municipalités qui ne pensent qu’à «l’or blanc». Et peu importe si ces jeunes ne trouvent pas où se loger pendant leur saison, ou s’ils travaillent pour des «queues de cerise» en reversant quasiment leur salaire dans un loyer… Où est le choix quand on cherche du travail et que c’est ça ou rien!
Les remontées mécaniques continueront à fonctionner, les boîtes et les restaurants feront le plein, les magasins des stations aussi.

N’est-ce pas là l’essentiel ? D’ailleurs, dès le lendemain, la mort horrible de ces deux jeunes était déjà oubliée des journaux! Tout va bien dans le meilleur des mondes, le monde capitaliste où décidément la vie des travailleurs ne vaut pas mieux que des "queues de cerises"!
Fabienne Serbah

Mon fils est saisonnier, il vit dans un poids lourd frigo qu'il a aménagé. Cette année il n'a pas fait les stations, après les olives il cueille les mandarines en Corse.

Sans  les saisonniers, les stations de sports d'hiver ne tourneraient pas,les sites touristiques et balnéaires non plus, les fruits ne seraient pas ramassés.

C'est parfois  un choix de vivre, mais pas un choix de mourir...surtout dans des conditions aussi atroces.

On les colle dans des endroits insalubres, sans eau ni électricité, loin de la vue des vacanciers qui viennent claquer leur thune....

Ils ont été inhumés aujourd'hui, entourés de leur familles et de leurs frères et soeurs des cametards. Pour eux pas de médaille,pas discours grandiloquents,pas de ministre,   même pas un employé Municipal de la Clusaz pour représenter la mairie... ils étaient tous à l'inauguration du dernier remonte pente de la station.

On reconnait l'humanité d'une société à la façon dont elle traite ses enfants les plus modestes.